Vianova signe un accord avec Bruxelles pour gérer E
MaisonMaison > Nouvelles > Vianova signe un accord avec Bruxelles pour gérer E

Vianova signe un accord avec Bruxelles pour gérer E

Jul 19, 2023

BRUXELLES, BELGIQUE - 17 NOVEMBRE : Des gens passent devant la banque ING Belgique le 17 novembre 2020... [+] à Bruxelles, Belgique. Le 13 novembre 2020, le Comité consultatif a constaté que notre pays se trouve toujours en situation d'urgence sanitaire. Si le nombre de contaminations est en légère baisse, le virus reste répandu, affichant une incidence cumulée en 14 jours de 1 232 contaminations confirmées pour 100 000 habitants et par jour (chiffres du 12 novembre). (Photo de Thierry Monasse/Getty Images)

Vianova, la plateforme d'analyse de données de mobilité, a signé un accord avec Bruxelles pour aider les autorités municipales à gérer les flottes de scooters électriques dans leurs rues.

Bruxelles, comme de nombreuses grandes villes européennes, a vu affluer des entreprises de scooters électriques et de vélos en libre-service. Plusieurs opérateurs, dont Dott et Bolt, disposent de flottes dans la ville.

Vantant souvent leur commodité, ces entreprises ont également été confrontées au fil des années à des réactions négatives de la part des résidents concernant la conduite dangereuse et le stationnement imprudent, ce qui a conduit les autorités municipales à réprimer les véhicules.

Pour répondre à ce problème, Bruxelles Mobilité, l'agence de transport de la ville, a fait appel à la start-up française Vianova.

Elle a développé une plate-forme logicielle permettant aux autorités municipales et aux entreprises de gérer l'ensemble des différentes options de transport qui ont dépassé les villes ces dernières années, de la location de scooters électriques au covoiturage.

Ces options ont offert aux résidents une plus grande variété de façons de se déplacer et de se déplacer, mais elles ont introduit beaucoup plus d'éléments mobiles à gérer dans une ville, couplés aux transports publics traditionnels existants.

Vianova affirme qu'il peut aider les urbanistes à donner un sens à l'espace dans la ville et à la manière dont il est attribué. Il pourrait s’agir d’identifier les rues où les scooters électriques posent problème, de mettre en place des zones de ralentissement pour les véhicules de micromobilité ou de gérer les espaces envahis par les voitures qui pourraient être redirigés pour réduire les embouteillages.

Le contrat est d'une durée d'un an avec un potentiel de trois années supplémentaires.

"Bruxelles est l'un des centres urbains en pleine croissance d'Europe et les gens qui y vivent veulent un moyen de se déplacer qui soit sûr, durable et accessible", a déclaré Thibault Castagne, directeur général de Vianova.

« Nous sommes ravis de réaffirmer notre partenariat avec Bruxelles Mobilité et d'aider la région à ouvrir la voie à la transition vers la mobilité partagée en fournissant des informations basées sur des données qui réduiront l'encombrement des chaussées, rendront les rues plus sûres et encourageront encore plus de personnes à utiliser les services partagés. options de mobilité.

Martin Lefrancq, nouveau conseiller en politique de mobilité chez Bruxelles Mobilité, a salué l'accord et a déclaré que la mobilité partagée est "l'avenir des transports".

Cela contraste avec les attitudes dans d'autres endroits en Europe qui ont cherché à limiter la propagation des scooters électriques, comme en Italie ou, plus tristement célèbre, à Paris, qui a organisé un référendum en avril au cours duquel les habitants ont voté pour expulser les sociétés de partage de scooters électriques de la ville. .

Vianova est quant à lui actif depuis quatre ans et est présent dans 60 villes, s'étendant récemment au Moyen-Orient. Il a levé un tour de table de 6 millions d’euros à la fin de l’année dernière.